Dans le monde actuel du travail, des personnes que nous appelons « employés » s’engagent à exécuter auprès d’un employeur ou d’une entreprise un travail. Dans ce type de relation qui s’établit, il est nécessaire que, d’un accord commun, un contrat de travail puisse être défini. Mais il est bel et bien possible que ce contrat soit appelé à être rompu. C’est une situation qui peut présenter des inconvénients aussi bien à l’employé qu’à l’employeur et principalement d’un point de vue pécuniaire et juridique. Mais heureusement, il existe un moyen de rupture qui, à bien des égards, profite à chacune des parties. Découvrons la rupture conventionnelle.
Comment calculer ?
De façon classique, les ruptures de contrat de travail engendrent des paiements d’indemnités. Si donc un moyen est trouvé, c’est bien pour permettre à ce que le calcul de ces indemnités soit favorable aux deux parties engagées. Découvrez sur ce site internet des informations complémentaires sur le calcul de la rupture conventionnelle. C’est en tenant compte d’un certain nombre de critères prédéfinis par les instances publiques du travail que ce calcul s’opère. Il existe donc un code avec des modes clairs d’estimation des indemnités de rupture. Principalement, il sera tenu compte du nombre d’années passées au sein de l’entreprise avant la rupture du contrat.
Avantages
Le mode de rupture conventionnelle présente, comme nous l’annoncions, plusieurs avantages, notamment dans les cas des CDI. Déjà pour celui qui emploie, c’est un moyen d’éviter de licencier son employé quitte à s’exposer aux complications juridiques ; situation qui risque de remettre en cause l’existence de sa structure. C’est donc un arrangement presque à l’amiable qui bénéficie tout autant à l’employé. Et pour ce dernier, c’est de profiter de plusieurs droits et également d’un statut qui ne le soumet pas à un régime de licencié. Éventuellement porteur d’un plan personnel, c’est pour lui le moyen de se débarrasser sans encombre de son contrat.